Charles Baudelaire considerou a obra “un livre de charité, un étourdissement rappel à l’ordre d’une société trop amoureuse d’elle-même et trop peu soucieuse de l’immortelle loi de fraternité”.
Referia-se a Les misérables, de Victor Hugo, onde se conta a epopeia de Jean Valjean, já várias vezes adaptada a outras formas de arte. A primeira edição desta obra apareceu faz hoje 150 anos. Um dos livros a não perder e de que se reproduz o início:
“En 1815, M. Charles-François-Bienvenu Myriel était évêque de Digne. C’était un vieillard d’environ soixante-quinze ans; il occupait le siège de Digne depuis 1806. Quoique ce détail ne touche en aucune manière au fond même de ce que nous avons à raconter, il n’est peut-être pas inutile, ne fût-ce que pour être exact en tout, d’indiquer ici les bruits et les propos qui avaient couru sur son compte au moment où il était arrivé dans le diocèse. Vrai ou faux, ce qu’on dit des hommes tient souvent autant de place dans leur vie et surtout dans leur destinée que ce qu’ils font. (…)”
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